Parler de sécurité routière, c’est évoquer la vie quotidienne de nos concitoyens et la capacité des différents moyens de transports à cohabiter.
C’est aussi évoquer des drames, des accidents parfois graves, parfois mortels. L’année dernière, plus de 3 000 personnes ont perdu la vie sur la route et nous avons compté 16 000 blessés graves, dont une proportion croissante d’usagers de vélos ou de trottinettes électriques.
Cela doit nous interpeller, nous pousser à agir plus encore pour prévenir les accidents, sanctionner plus durement les comportements dangereux, notamment l’alcool et les stupéfiants, et mieux accompagner les victimes et leurs familles.
Nous y parviendrons grâce à la fermeté à l’égard des comportements les plus dangereux, grâce à une meilleure organisation et à un soutien accru pour l’aide aux victimes.
Les mesures que nous présentons aujourd’hui sont le fruit d’une concertation et d’un dialogue avec tous les acteurs.
Elles vont permettre à la fois de faciliter la vie des usagers de la route, d’améliorer nos dispositifs de prévention mais aussi de mieux détecter et de sanctionner plus fermement ceux qui conduisent sous l’emprise de la drogue ou de l’alcool.
Grâce à la mobilisation et la détermination du Gouvernement et de tous les acteurs de la sécurité routière, nous agissons pour que chacun puisse circuler en sécurité et en sérénité sur nos routes.